Nous ne résistons pas à l’envie de partager avec vous un article déniché sur Slate.fr : Les «vieux» sont-ils moins bien traités qu’avant ? Celui-ci porte sur la façon dont nous traitons les personnes âgées, les seniors, avec comme point de départ le fait que la crise du coronavirus serait le révélateur d’un processus déjà bien entamé.
Cela signifie-t-il que, par le passé, les personnes âgées étaient mieux traitées et considérées dans nos sociétés ?
Qu’est-ce qu’un vieux, qu’est-ce qu’une vieille ?
Première question abordée par l’article : savoir à partir de quand l’on est vieux. Il va de soi que selon les époques, on ne voit pas les choses de la même façon. On parle aussi du vocabulaire utilisé pour qualifier les anciens et l’évolution de la structure familiale. Dans la famille occidentale, l’ancien n’est désormais plus avec le reste de la famille, ou très rarement. Cela n’a pas toujours été le cas et, dans d’autres sociétés, il habite avec ses enfants et ses petits-enfants.
Qu’offre-t-on aux vieux ?
Autre aspect abordé par l’article : les prestations auxquelles ont droit nos aînés. Il va de soi que nous n’avons pas toujours eu un système de retraite. En France, il faut attendre la fin de la Seconde Guerre mondiale pour voir apparaître un vrai système de retraites tel que nous l’entendons aujourd’hui.
Quelles politiques de santé pour les plus âgés ?
La retraite, c’est une chose. Mais quelles infrastructures, quel soutien offre-t-on aux « vieux » ? C’est l’object de la troisième partie de l’article et il nous intéresse bien sûr particulièrement, puisque nous parlons beaucoup des EHPAD.
L’article finit sur un aspect qui peut nous sembler sombre : celui de la mort. Avec le coronavirus, il n’est guère possible d’accompagner les membres de sa famille sur le point de mourir, « on a forcé les malades à être les seuls témoins de leur propre mort ».
